lundi 15 septembre 2014

[Série Noire...] - Parabellum perd Schultz

Quand on aime la bande dessinée noire, comme moi, et vous (ah non ?), on aime Mezzo et Pirus. 

Quand on aime Mezzo et Pirus, on aime Pirus.

 Quand on aime Pirus, on se rappelle qu'il a dessiné la superbe pochette du premier album de Parabellum, fièrement estampillé d'une balle frappée d'un "100 % nul".

 

 On se rappelle qu'on a détaillé plus d'une fois cette pochette, avec sa scène d'évasion, son évadé central à la gueule de Rapetou méchant, ses matons aux allures de kapos... 


On se souvient aussi qu'on faisait tout ça en écoutant huit putain de morceaux bien énervés, bien électriques, aux textes bien sombres.

 

 On se souvient qu'elles étaient signées Géant Vert, ces paroles, et que c'est un certain Schultz qui les crachait, de sa voix gouailleuse et révoltée.

 

 Et quand on apprend que Schultz est parti voir ce qu'il y là-haut (rien, on le sait) , on espère qu'il nous enverra une carte postale, parce que là, il nous laisse tous un peu pâles.

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